Vivey est entouré de montagnes qui forment l'une des parties les plus élevées du département. Elles sont également le point de séparation des eaux qui mènent à l'Océan et à la Méditerranée. De l'une des roches qui dominent Vivey, dans une forme de coquille, on voit souvent, après de fortes pluies et principalement à la fonte des neiges, jaillir une masse d'eau qui sort par de nombreuses issues et forme un torrent qui se jette dans le vallon.
Aujourd'hui, un pavillon est construit devant cette coquille d'où provient le ruissellement principal (environ dix-huit pouces de diamètre, il sort d'une cavité creusée dans le rocher, cf. ci-contre) mais vous pouvez toujours apercevoir le long de la départementale, à la sortie du village, les autres cascades qui ruissellent de la même façon (cf. ci-dessus).|« D'autres ruisselets, charmants et cascadeurs, dans un paysage heurté et montagneux, viennent des environs de Praslay, Vivey, où subsiste encore un vieux manoir, et où les fontaines naturelles prennent des aspects de torrents aux demi-saisons. D'autres sources prennent naissance un peu n'importe où, dans cette immense forêt d'Auberive, forêt de Montaubert, forêt de Montavoir, qui, lorsqu'André Theuriet était modeste fonctionnaire à Auberive, a servi de cadre et de thème d'inspiration à ses nombreux romans agrestes (Sous-Bois, Reine des Bois, etc...) ».
LES « ROCHES QUI PLEURENT »
Patrimoine naturel
VIVEY